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A PROPOS…

 

 

“Chez Nadine Coleman tout est dualité. Là ou vous pensez voir une composition équilibrée, une construction géometrique, c’est en fait une respiration poétique qu’il vous faut découvrir.  Et si vous percevez cette poésie – sous-jacente, dites vous bien qu’elle n’existe que par la solidité et la rigueur de la composition”…

 

Michel BENARD, Lauréat de l’Académie  Française

 

 

 

Je suis profondément française. Je suis née en France mais j’ai grandi à Moscou et y ai passé de nombreuses années en tant qu’adulte.  La dualité de mon travail  provient des influences  que j’ai subie de la Russie et de la France.

 

Après avoir passé 30 ans de ma vie en Union Soviétique  j’y ai établi des liens très forts avec les gens, admirant le courage et l’ingénuité utilisés pour resister aux répréssions Soviétiques.  En peinture cela peut vouloir dire comment utiliser des subterfuges  pour exprimer  l’ inexprimable.

 

En France j’ai puisé mon inspiration dans la tradition de la libèrté d’expression : l’essence de la culture française.

 

J’ai eu aussi la grande chance de beaucoup voyager en Europe, Asie, Afrique et Amérique Latine,  continents qui m’ont laissé une énorme impression non seulement par leur aspect physique mais de par leurs traditions et cultures.  Juxtaposer  ces éléments  est une autre forme de dualité  dans mon travail.

 

J’ai commencé mon itinéraire artistique en étant apprentie auprès du restaurateur en chef de la galerie Tretyakov,  l’imposant musée à Moscou et j’ai continué la restauration  à Paris.  La discipline imposée par la restauration telle qu’attention au détails et discipline, entre autres, s’est  averrée primordiale quand j’ai commencé à peindre pour moi.

 

J’ai travaillé comme restauratrice de peintures sur chevalet pendant  plus de 20 ans, mais je voulais m’exprimer avec ma propre voix , utiliser mon propre vocabulaire pour “parler” de ce que j’avais vu, ce dont j’avais été temoin, ce que j’avais ressenti.

 

La couleur me fascine comme étant ce  merveilleux véhicule pour communiquer  atmosphère, sentiments personnels et plaisir esthétique.

 

Le choix des couleurs est bien sur instinctif, tout à fait subjectif.  Ce que la couleur évoque pour l’artiste peut ne pas être perçue de la même façon par une autre personne.

 

Pour moi, peindre est une soupape qui me fait m’évader des rigueurs de la vie de tous les jours , vers un lieu, un pays, un sentiment imaginaire qui éventuellement prend forme et couleur.

 

Nadine Coleman

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A FEW WORDS ABOUT ME

 

 

“With Nadine Coleman, everything is duality.  Where you think you are seeing a

balanced composition, a geometrical construction, you are in fact seeing a poetic exhalation that you must discover.  And if you perceive this poetical undercurrent, know that is exists solely thanks to the solidity and rigour of the composition …  “

 

Michel BENARD, Laureate of the Acadamie Francaise

  

  

I am French to the core, a French citizen born in France, but I grew up in Moscow and spent many years there as a adult.   The duality of my work begins with the influence of Russia and France.

 

On the Russian side, I established strong bonds with the people, admiring the

courage and ingenuity they used to resist Soviet repression.  In painting this can mean how to use subterfuges in order to say the unsayable. 

 

On the French side I drew inspiration from the tradition of free expression,

the essence of French culture.

 

It was also my good fortune to travel extensively in Europe, Asia, Africa and Latin America, leaving me impressed by varied landscapes and traditions.  Juxtaposing them is another element of duality in my work.

 

My artistic career began with an apprenticeship to the chief restorer of the Tretyakov  Gallery, Moscow’s leading art museum, and continued as a restorer in Paris.  The skills absorbed from restoration, among them attention to detail and discipline, proved invaluable when I turned to producing paintings of my own.

 

I practiced restoration for over 20 years. But I wanted to express myself in my own voice and vocabulary and speak of what I had seen, witnessed, or felt.

 

Colour fascinates me as a way to communicate mood, inner feelings and aesthetic pleasure. 

 

The choice of colours is, of course, instinctive, highly subjective. What the colour says to the artist may not be perceived the same way by the viewer.

And therein lies the challenge.

 

For me, the process of painting involves an escape from the rigours of everyday life into an imaginary land that eventually takes shape and colour.

 

Nadine Coleman

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